De la soumission à la féminisation et du gode à la bisexualité imposée

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il y a 8 ans

Mon amie Sandra est devenue progressivement ma Maîtresse avant de devenir mon épouse. Je m’étais ouvert à elle sur mes envies de soumission un soir après avoir fait un gros câlin conventionnel. L’idée l’avait juste amusée, elle a testé pour voir et me faire plaisir, elle y a rapidement pris goût.

Elle s’est mise à dominer d’autres hommes rencontrés sur Fessestivites, au début j’avais peur qu’elle me quitte, il n’en a rien été, puisque nous nous sommes mariés quelques temps plus tard. Sandra a besoin de s’amuser, de dominer, de pousser les mâles dans leur soumission. Nous nous sommes donc rapidement fait un relationnel, les soumis et travestis ne manquent pas.

La cage de chasteté est rapidement entrée dans notre couple, elle disait qu’avec ça sur le sexe et en contrôlant ma sexualité elle avait la sensation que mon corps lui appartenait.

A f o r c e de rencontrer des soumis aimant se féminiser, elle a décidé de me l’imposer dans le cadre d’un jeu d’humiliation. Très rapidement mes slips sont devenus des culottes de femme que je porte sous mes vêtements. Les soirs où elle a envie de s’amuser, elle m’impose d’être en robe ou en tenue de soubrette pour faire le service de table. Quand Sandra me demande ça, c’est que la soirée va être chaude.

Lorsque je suis dans ces tenues, je n’ai pas le droit de porter de sous-vêtements, mon corps doit être accessibles à ses envies lubriques en permanence comme tirer sur ma cage de chasteté qui ballotte. Son vocabulaire a évolué au contact des travestis, mon sexe a pris le nom de clito, mon anus de chatte, de soumis je suis passé à pute ou salope, nos mauvaises fréquentations ont donc enrichi son langage......

A force de voir des vidéos BDSM sur Fessestivites, elle a voulu s’essayer au gode ceinture. Je m’en souviens comme si c’était hier. A la fin d’une vidéo il y avait de la pub pour ABCplaisir, c’est là que nous avons acheté notre premier gode ceinture. Elle avait commandé le modèle avec trois godes amovibles dont deux à l’intérieur en me disant qu’elle n’avait rien contre l’idée de prendre du plaisir en baisant sa petite salope ! Elle s’est comportée comme une véritable gamine impatiente bien que la commande passée le dimanche soir soit arrivée le mercredi.

Lorsque je suis arrivée à la maison, Sandra a voulu l’essayer de suite, j’ai reçu l’ordre de me mettre en soubrette, en guise de biscuit d’apéritif j’ai du sucer un gode. Nous n’avons même pas pris le temps de dîner, elle me voulait tout de suite, on aurait dit une vraie gamine qui voulait jouer avec ses jouets dont moi. Nous avons tous les deux appréciés la sensation de possession sur la table du salon où elle m’a pris dans tous les sens. Au début penché en avant sur la table ensuite couché sur la table pour finir allongée sur mon dos. J’avoue avoir beaucoup aimé et beaucoup coulé car sous cage de chasteté depuis dix jours, mon état d’excitation était monstrueux. Après m’avoir sauté comme une « bonne salope », aussi excitée que moi, elle m’a libéré de la cage de chasteté pour faire l’amour. Ce soir là, nous n’avons pas dîné tant nous étions épuisés après la chaude soirée et le câlin qui dura fort longtemps.

Un soir, alors que la soubrette se faisait sauter penchée sur l’évier de la cuisine, elle m’a demandé si cela me plairait de me faire prendre par un vrai mâle en me disant que me voir me « faire enfiler » par un mec lui plairait beaucoup. Elle m’avait déjà imposé de faire une fellation à un soumis et savait donc que je n’étais pas opposé à de la bisexualité dans les jeux mais de là à me faire prendre...... et devant elle..... c’est plus délicat. Sans trop attendre ma réponse, elle m’a promis un grand soir et longuement martyrisé. Lors du facestting, j’ai vraiment constaté que l’idée de me faire prendre par un homme l’excitait beaucoup tant elle était trempée.

Sandra n'a pas tardé à traduire ses paroles en actes pour faire progresser sa petite « salope »

Quelques jours avant Pâques, elle m'a offert une très belle première expérience de pluralité masculine dans une soirée où elle dominait une très belle travesti et deux soumis.

La soirée de la reine a démarré rapidement ! Ses 2 femelles, à quatre pattes sous ses pieds devant le canapé, ont du prendre en bouche les deux sexes des soumis qui s'offraient à elles pendant qu’elle sirotait un excellent champagne en fumant une cigarette. Pour les aider à bien bander, elle s’est servi de pinces à sein pour relier les deux soumis par les tétons avant de motiver leurs coups de rein dans nos bouches à la cravache.

Pour faire bonne mesure et me préparer, Sandra a ensuite entrepris de me doigter en même temps que j'administrais la plus longue fellation que je n'avais jamais faite. Combien de temps cela a duré je n’en sais rien mais longtemps car j’en avais mal à la mâchoire.

Sandra s’est parée de son gode ceinture sans les deux godes à l’intérieur afin de donner le ton. Elle m’a pris devant la travesti et les deux soumis en leur ordonnant de se faire sucer à tour de rôle en se branlant, avec bien sûr l’interdiction de jouir.

M’estimant « prête », elle a demandé aux deux soumis de s'occuper de moi en double. Je me suis à nouveau retrouvé à quatre pattes mais cette fois entre deux hommes. Au début j’étais très gêné quand le soumis m’a pris devant tout le monde pendant que je suçais l’autre qui n’arrivait pas à bander. C’est ainsi que j’ai perdu mon « pucelage » si l’on peut dire ainsi malgré l’usage fréquent des plug et du gode ceinture.

Ce fut une véritable saillie. J'ai eu la sensation d'une véritable première fois. Il me prenait très longuement, sans ménagement mais néanmoins sans aucune brutalité. Il a su y faire pour me rendre chienne. Je sentais son sexe dur en moi et, avec ses va-et-vient toniques, il m’a conduit au bord de l'implosion. Je gémissais de plaisir et de cette douleur savoureuse quand il redoublait d'intensité. La bouche toujours pleine, je me suis donné sans réserve, en me sentant à cet instant une véritable femelle.

Quand il a joui, Sandra a invité le soumis fort bien monté qu’elle avait bien martyrisé, à succéder à mon dépuceleur en me conduisant au canapé où elle s’est assise jambes écartées en me désignant son ventre d’un doigt. Blotti contre ma Maîtresse, la tête coincée entre ses jambes, sous ses caresses j’ai pu partager avec elle cette sensation unique d’abandon sexuel. J’étais vraiment la chose de ma Maîtresse qui, ce soir là, qui faisait tout pour que je m’envole et apprécie de me faire défoncer.

Plus tard dans la soirée, lorsque l'un des soumis a demandé à Sandra s'il pouvait la câliner, elle lui a répondu « Non merci, j'ai mon mari pour ça, je ne couche qu'avec lui ». Pour terminer cette soirée inoubliable, elle leur a fait une séance de martinet avant de les autoriser à se masturber devant elle à condition de se vider dans ma bouche. C’est sous son gode ceinture que j’ai fait ma première pipe jusqu’au bout pour le seul qui est arrivé à jouir en se branlant. J’étais tellement dans les nuages que cela ne m’a pas posé de problème, je prenais même son sexe au fond de ma gorge pour ne pas en perdre une goutte.

Lorsqu’ils sont partis, Sandra m’a demandé de me mettre nu et de m’étendre dans la baignoire. Elle m’a retiré la cage de chasteté et demandé de me masturber. Soudain elle m’a enjambé avant d’écarter les lèvres de son sexe dont j’ai vu jaillir une véritable fontaine chaude. Ce fut aussi une première que d’être arrosé de son champagne, ce soir là j ’ai joui à en perdre la raison au moment où je léchais son sexe pour le « nettoyer ». A la suite de quoi, elle m’a roulé une gamelle sans être gêné par le goût de ma bouche en me disant qu’elle était fière de moi avant de me laver comme si j’étais un gamin.

Avec ma Maîtresse il faut s’attendre à tout, n’importe où, n’importe quand. Je l’aime comme un fou .

Ecrivaillon

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Vraiment sympa et craquant
je confirme, un superbe récit
Elle a testé pour voir et me faire plaisir, elle y a rapidement pris goût. C'était un peu le risque non ? Merci pour ce récit sympa
En plein dans mes délires, mes envies, franchement j'adore cette histoire. Merci beaucoup
Quand votre Maîtresse devient votre épouse, c'est une vie de rêve pour un soumis. Moi j'ai eu cette chance et je n'en reviens toujours pas
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